samedi 27 janvier 2007



De la part de mon fils :

"Ouvrir un blogue, c'est un peu comme ouvrir un salon où l'on cause, sauf que là c'est de chez soi. Partagez des idées, discuter en direct (sauf lorsqu'on est obligé de faire modérer les messages)..., invitez sa famille, des amis... La liberté d'en penser ce qu'on veut est à la mesure de la liberté, pour l’administrateur des lieux, d'y cracher ce qu'il veut. Ainsi va le blogue".

Et personne ne doit rien reprocher à personne, sinon peut-être d'instrumentaliser ces libertés là mais dans le plus pur respect du langage.

Finalement, le troll n’est pas si éloigné que cela du pénible!

- Le pénible croit en la thèse du complot universel (Tout le monde lui en veut, tout le monde à tort sauf lui)

- Le pénible refuse tout (Tout ce qui ne vient pas de lui est de la connerie)

- Le pénible fait des insinuations douteuses et des amalgames douteux

- Le pénible mélange tout (Tout est pareil)

- Le pénible dramatise tout (Tout ce qui peut faire du foin doit être exploité)

- Le pénible veut tout catégoriser (Tout doit rentrer dans des cases)

- Le pénible ne comprend pas qu’on puisse être neutre ou indifférent (Tout ce qui n’est pas lui est contre lui)

- Le pénible interprète tout (Tout est relatif, discutable, sujet à caution)

- Le pénible « joue au con » (Alors qu’il a tout compris, il fait semblant de n’avoir rien compris)

NB : il va de soi que seul un vrai pénible peut parvenir à cumuler toutes ces caractéristiques réunies.

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Et je crois que je lui ai laissé bien trop de libertés pour s'exprimer, consacré beaucoup de temps et d'énergie... Adieu et bon vent

1 commentaire:

Monique a dit…

C'est avec un sourire aux lèvres que je relis ces écrits...
Pourtant sur le coup cela fait mal, mais maintenant que tout cela est terminé et que nous avons la preuve qu'il s'agissait de personnes qui étaient très mal en souffrance si cela leur a procuré un certain équilibre dans cette méchanceté tant mieux pour elles.