samedi 30 juin 2007

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Le premier centre de recherche sur le cancer sort de terre à Toulouse (diaporama)

Situé pour partie sur l’ancien site AZF et sur un terrain militaire, le cancéropôle de Toulouse est en cours d’aménagement sur 220 hectares. Clinique universitaire, centres de recherche publics et privés et pépinière d’entreprises ouvriront progressivement à partir de 2008. L’institut de recherche oncologique Pierre Fabre sera la première implantation sur ce site depuis la catastrophe d’AZF.

La création de 7 cancéropôles à travers la France figurait parmi les 10 mesures du plan cancer lancé par Jacques Chirac. Celui du Grand Sud Ouest est actuellement en chantier à Toulouse, sur 220 hectares, dont 78 hectares de l’ancienne usine AZF. Total, propriétaire du site, a investit 110 millions d’euros dans la réhabilitation du site.
Sur le pôle de recherche privée, on trouvera notamment le Centre de recherche et de développement oncologie des laboratoires Pierre Fabre. Il s’agira de la première implantation sur le site depuis l’explosion d’AZF, en septembre 2001.

Gélules
Le bâtiment de 41.000 m², construit sur 17 hectares, abritera près de 750 cliniciens, pharmaciens, chercheurs et techniciens. Imaginé par l’architecte Roger Taillibert, le bâtiment sera constitué de six unités cellulaires de métal blanc et de verre teinté, avec des toitures en arrondi. «Le principe architectural est un mouvement de courbe, inspiré des gélules pharmaceutiques» .

Les travaux, dont le montant s’élève à 91 millions d’euros, ont commencé à l’automne 2006 et doivent durer 25 mois, tous corps d’état confondus. Trois grues travaillent simultanément sur le chantier orchestré par Spie Batignolles, en partenariat avec le promoteur Icade Tertial. Pour cette réalisation, le groupe Spie Batignolles fait appel à deux filiales, Spie Batignolles sud ouest et Spie SCGPM. Le centre doit ouvrir en octobre 2008.

Découvrir quelques images du projet de l’institut Pierre Fabre

A TOUS

vendredi 29 juin 2007

L'ancêtre du chat domestique localisé au Proche-Orient

L'ancêtre du chat domestique localisé au Proche-Orient

Laurent Thomet

Agence France-Presse

Washington

Le premier chat domestique était un chasseur de souris acharné qui avait noué des liens étroits avec les premiers agriculteurs installés au Proche-Orient il y a 10 000 ans, selon une étude publiée jeudi par le journal Science.


Grâce à des recherches sur l'ADN, les chercheurs affirment avoir localisé l'ancêtre du chat domestique dans la région du Croissant fertile, zone du Proche-Orient comprenant les États actuels d'Israël, d'Irak, de Syrie, et du Liban.

Selon l'un des auteurs de l'étude, Stephen O'Brien, le chat sauvage ancêtre du chat domestique est apparu quand les premiers agriculteurs se sont sédentarisés et ont stocké des grains attirant les rongeurs. Il a été plus amical que les autres membres de la famille des félins.

«Les félins sont bien connus pour être de redoutables prédateurs - très meurtriers, très féroces et très menaçants pour les autres espèces y compris celle des humains», a expliqué à l'AFP M. O'Brien, chercheur à l'Institut national du cancer américain (National Cancer Institute).

«Mais ce petit bonhomme a en fait choisi une autre voie». «Il a décidé d'être un peu familier et aussi un très bon chasseur de souris».

Le chat sauvage du Proche-Orient a ainsi apporté «deux vrais avantages» à ces agriculteurs, selon le chercheur.

«Premièrement, il les a aidés à se débarrasser des milliers de rongeurs installés près des stocks de grains, et deuxièmement, il a sans doute été une source d'amusement pour les familles et leurs enfants», raconte-t-il. C'était aussi «le début d'une des plus incroyables expérimentations biologiques, où un méchant, féroce et mortel prédateur, change de comportement et devient amical avec les humains».

Les auteurs de l'étude ont également réussi à retracer les origines du premier couple de chats, les «Adam et Eve» félins, à quelque 100 000 ans, mais il n'existe pas de preuve de domestication à cette époque.

Au cours de cette étude, les chercheurs ont utilisé les échantillons ADN de 979 chats pour analyser les liens entre le chat domestique et cinq espèces de chats sauvages issus de trois continents, dont le chat sauvage du Proche-Orient.

Ils sont parvenus à exclure comme ancêtre du chat domestique quatre espèces de chats sauvages: le chat sauvage européen, celui d'Asie centrale, celui du sud de l'Afrique et celui du désert chinois.

Ils ont découvert que chaque sous-espèce et le chat domestique se retrouvaient dans un groupe génétiquement distinct.

Mais le chat domestique et son parent du Proche-Orient étaient issu du même groupe, ce qui laisse supposer une parenté.

«Tous les chats domestiques semblent avoir un seul et même ancêtre commun», a expliqué Carlos Driscoll, l'un des auteurs de l'étude, étudiant en doctorat à l'université d'Oxford.

L'actuel chat sauvage du Proche-Orient qui vit dans les lointains déserts d'Israël, d'Arabie Saoudite et d'autres pays du Proche-Orient, ressemble probablement à son ancêtre, a-t-il ajouté.

jeudi 28 juin 2007

Jeunes Solidarité Cancer (JSC).


27/06/2007 12:32
PARIS (AFP) - La double-peine des grands adolescents atteints de cancer


A mi-chemin entre l'enfance et l'âge adulte, les grands adolescents atteints d'un cancer voient s'ajouter au sentiment d'exclusion dû à la maladie l'isolement au sein de structures de soins mal adaptées à leur tranche d'âge.

Les cancers chez les adolescents sont rares en France et les données sur leurs spécificités peu nombreuses, relevait une étude publiée en mars par l'Institut de veille sanitaire. Chaque année, 700 nouveaux cas sont diagnostiqués chez les 15-20 ans. Au total, ce sont 2.000 cas qui sont observés tous les ans si l'on inclut les préadolescents (10-14 ans) et les post-adolescents (21-24 ans), selon l'Association Jeunes Solidarité Cancer (JSC).

L'association a organisé mardi, au congrès Eurocancer à Paris, une session consacrée à la prise en charge hospitalière des jeunes adultes atteints de cancer. "Depuis une dizaine d'années, il y a eu énormément d'évolution, de réflexion", constate son président, Damien Dubois.

Mais la France est encore en retrait par rapport à certains pays comme l'Angleterre, avec un seul centre "vraiment dédié" à l'accueil spécifique des adolescents et jeunes adultes, à l'Institut Gustave-Roussy (IGR) de Villejuif. En septembre devrait ouvrir à Lyon, au Centre Léon-Bérard, un espace dédié aux adolescents au sein de l'Institut d'hémato et d'oncologie pédiatrique.

"Trop vieux" dans un service pédiatrique, "trop jeune" dans un service d'adultes, le grand adolescent ou le jeune adulte se retrouve isolé lorsque la maladie vient compliquer les questions propres à cette période de la vie.

"C'est l'âge où est en train de se construire l'image de soi, l'image qu'on donne aux autres, l'âge de la formation universitaire, des premières rencontres", explique Sarah Dauchy, psychiatre à l'IGR. Le cancer et les soins liés à la maladie viennent priver le patient de cette phase de découverte et de construction.

A cette "soustraction au temps présent", viennent s'ajouter "deux mouvements contraires": le jeune va moins construire son avenir que les autres et en même temps "va mûrir différemment". Face à cette "première grande épreuve", les adolescents mûrissent plus vite, alors que leur autonomie matérielle et affective régresse.

Outre leur intérêt d'abord médical (recherche, épidémiologie...), les services spécifiques permettent aux jeunes de se retrouver entre eux, mais aussi, avec des activités ou des loisirs adaptés, de "rester en phase avec les gens du même âge", de conserver leurs repères, souligne le Dr Dauchy.

Damien Dubois insiste sur l'importance de "la préparation de l'après", d'autant que les taux de guérison chez les jeunes "vont dans le bon sens". La préparation de l'après cancer à l'hôpital "est porteur d'espoir, de projets", souligne-t-il. Cela inclut les projets professionnels, mais aussi des questions délicates à aborder par les médecins - parfois dans l'urgence - comme les risques de stérilité que peuvent entraîner les traitements.

Pour le Dr Dauchy, il faut améliorer la possibilité de "suivi au long cours", lorsque les jeunes adultes "se retrouvent à faire un bilan et qu'ils ont trois années d'études de retard par rapport aux autres, une image corporelle mise en péril, une estime de soi un peu diminuée, un sentiment d'autonomie qui vacille".

Jeunes Solidarité Cancer (www.jeunes-solidarite-cancer.org) a pris forme au sein de la Ligue contre le cancer. Son forum de discussion et de soutien a été ouvert en 2000 et elle est devenue une association indépendante en 2002.

La Dépêche du Midi - Toulouse,Pyrénées,France

mercredi 27 juin 2007


Une grenouille fait rebondir la lutte contre le cancer
La molécule Amphinase s’avère prometteuse pour traiter les tumeurs cérébrales.

Une version synthétique d’une molécule provenant d’une grenouille léopard pourrait constituer un futur traitement pour combattre des tumeurs cérébrales, selon des chercheurs d’une université britannique.

La molécule, une enzyme baptisée Amphinase, «n’en est qu’au stade très préliminaire de son développement», prévient le professeur Ravi Acharya du département de biologie et de biochimie de l’Université de Bath (Royaume-Uni).

Le cancer devient une maladie chronique...

Roche : 3 milliards de dollars pour se renforcer dans le diagnostic du cancer

26/06/2007 14:57

Roche a mis 3 milliards de dollars sur la table pour s'offrir l'américain Ventana Medical Systems. But du n° 1 mondial des médicaments contre les tumeurs : se renforcer dans les tests liés au cancer. Histoire de fusionner encore plus diagnostic et traitement.

Roche a lancé une offre hostile sur le laboratoire américain Ventana : 75 dollars par action, soit 45 % de plus que le cours de clôture du titre (51,74 dollars). Roche avait d'abord tenté un rachat par négociation. Une «approche en douceur» repoussée par Ventana, si l'on en croit un communiqué du labo bâlois.

Que gagnerait Roche dans cette opération d'envergure ? Un test développé par Ventana pour étudier les patients susceptibles de répondre à l'Herceptin, médicament contre le cancer du sein, le 2e produit le mieux vendu de Roche.

Roche a besoin des diagnostics pour affûter ses traitements

Le laboratoire suisse a déjà opéré quatre rachats de diagnostics cette année, afin de se doter de nouveaux outils permettant d'aider les médecins à ajuster le traitement au profil génétique du patient.

«Les diagnostics du cancer composent un champ d'étude émergent, souligne Karl-Heinz Koch, analyste chez Bank Vontobel (Zurich), cité par Bloomberg. Ils aideront Roche à se faire une place dans un marché dont il a été absent, et à déterminer quel groupe de patients répond le mieux au traitement.»

Roche : «Le cancer devient une maladie chronique»

«Le cancer devient une maladie chronique que nous pouvons traiter avec des combinaisons de médicaments variées, a affirmé Franz Humer, président et CEO de Roche, dans une interview télévisée. Ces combinaisons doivent être adaptées à chaque individu. C'est pourquoi la fusion des diagnostics et des traitements est si importante.»

L'action Roche est restée largement inchangée à l'annonce de cette offre. Le titre Ventana, en revanche, a crû immédiatement au point de dépasser le prix proposé par Roche : 78,61 dollars. Ce qui suggère que les investisseurs s'attendent à ce que le labo bâlois revoie son prix à la hausse.

Encore une trop chaude journée...

mardi 26 juin 2007

Quelle est la place de la France en cancérologie


Cancer : la grand-messe francophone

25/06/2007-14h18 - Anne Jeanblanc - © Le Point.fr

Trois questions au Pr Michel Marty, président d’Eurocancer
Eurocancer ouvrira ses portes demain, à Paris. Pendant trois jours, cette manifestation réunira aussi bien les plus éminents spécialistes que tous les professionnels de santé impliqués dans la lutte contre le cancer, médecins, pharmaciens, chercheurs et paramédicaux.

Après le grand congrès de l’American Society of Clinical Oncology (Asco) qui vient d’avoir lieu à Chicago, qu’allez-vous apporter ?

Pr Marty : Des choses très différentes. Depuis vingt ans, Eurocancer identifie les progrès les plus marquants de la cancérologie et les met à la disposition de tous. Notre but est de faire la synthèse de ce qu’offrent les derniers résultats scientifiques en matière d’utilisation pour les médecins. C’est donc beaucoup plus de la formation médicale. On peut donc aborder les mêmes sujets qu’à l’Asco, mais pas forcément dans la même optique.

Quelle est la place de la France en cancérologie, aujourd’hui ?

Pr Marty : En termes de cancérologie clinique, de performances diagnostiques et thérapeutiques, la France se situe bien. En termes de recherche fondamentale, aussi. Mais notre problème se situe au niveau de la recherche de transfert, donc entre les deux. Il n’y a pas de liens suffisants, même s’ils augmentent un peu. L’organisation de la recherche clinique, dans notre pays, est moins bonne et moins performante qu’en Angleterre et bien sûr qu’aux Etats-Unis. De plus, pour mise au point de tests diagnostiques, les sociétés privées sont en très large majorité nord-américaines. On manque donc de partenaires privés.

Dans quel domaine est-on supérieur aux Américains ?

Incontestablement dans la prise en charge globale du patient et de son entourage. La raison est simple : aux Etats-Unis, quand un médecin donne des explications, il a toujours l’obsession de ne pas fournir d’éléments qui seraient attaquables. En France, je crois que la relation médecin-malade est beaucoup plus naturelle, et beaucoup moins obérée par la judiciarisation.

Trop chaud...

Il va faire encore très chaud, habituellement je reste bien sagement "planqué" chez nous mais nous avons des vacanciers, il va falloir que je fasse qq efforts pour les accompagner et ainsi profiter pleinement d'eux...

lundi 25 juin 2007

La joie

Un autre roux pique assiette (rire)


Lui mange la même nourriture puique c'est : "petit chat", le poilu des enfants Il est passé pour son plus gd bien entre les mains d'Emeline avec les herbes à cette époque c'était l'enfer pour lui. Il ressort après deux mois d'interdition de sortir pour le protéger des autres chats ou prédateurs de tous poils.
Il a pris beaucoup de poid, c'est du plomb... Pas de sauterelle ou lézard rien que ses croquettes.


dimanche 24 juin 2007

Pour Patou et Sandrine



Merci à vous deux pour vos nouvelles. C'est toujours avec grande attention que je
consulte mes mails et je suis contente d'avoir des nouvelles de mes amies parmis les nombreux mails. Bisous à vous deux

Rose blanche de Roman


La Belle Andalouse

Encore un pique assiette...




Décidément dans le quartier il y a beaucoup de chats roux. Celle ci est une femelle qui appartient a nos voisins. Elle vient nous rendre visite car la nourriture est meilleure chez les autres ...

samedi 23 juin 2007

Bon Week end

Casimir est déjà fin prêt pour partir peut être pour la plage (rire)

vendredi 22 juin 2007

CANCER nouveau traitement

Cancer : un nouveau traitement sans effets secondaires - 21 juin 2007 - 20:40 (Par Salim A. Bourras)

Cancer : un nouveau traitement sans effets secondaires
Cancer : un nouveau traitement sans effets secondaires

Un nouveau traitement contre le cancer utilisant des nanoparticules d’or sera testé dans les prochaines semaines. La technique consiste en l’injection de nanobilles de verres, plus petites q’un globule rouge, recouverte d’or, capables de révéler les cellules cancéreuses. Ces nanoparticules qui ont la propriété de s’accumuler dans le tissu tumoral, seront ensuite « activées » par une faible source d’énergie lumineuse. Les tests ont montré à ce jour que les tumeurs sont totalement détruites.

Ainsi, et contrairement aux techniques conventionnelles de traitement, cette nouvelle méthode n’utilise ni produits chimiques toxiques ni radiations, réduisant ainsi considérablement les risques et les effets secondaires. Elle aurait aussi le mérite d’être beaucoup moins chère indiquent les chercheurs. En Grande Bretagne, cette avancée a été positivement accueillie par la communauté médicale, et certains médecins lui prédisent un bel avenir dans le traitement de plusieurs cancers mortels, allant du cancer de la peau au cancer cervical, en passant par ceux du sein et du cerveau.

Cet article tout plein d'espoirs, me fait penser aux familles dont le malade est parti trop tôt!

jeudi 21 juin 2007

En France un nouveau cas de cancer du sein toutes les 12 minutes !

Angelina Jolie

Angelina Jolie et Fran Drescher, ensemble contre le cancer

Angelina Jolie rendra hommage à sa mère Marcheline, décédée des suites d’un cancer en apparaissant dans une nouvelle campagne de lutte contre cette maladie, au côté de la nounou d’enfer, Fran Drescher.

Cette dernière, qui a lutté durant plusieurs années contre un cancer a fondé l’organisation Schmancer. Elle a demandé à l’héroïne de Tomb Raider de la rejoindre dans ce combat pour accélérer la recherche médicale. Drescher a déclaré « La mère d’Angelina est morte d’un cancer, et je suis moi-même une survivante. Nous nous battons pour que toutes les femmes soient dépistées précocement avant l’inévitable ».

En France, 4200 cas de cancers du sein par an sont diagnostiqués ce qui représente un nouveau cas toutes les 12 minutes !

Le cancer du sein est responsable de 10 000 décès annuels soit une mort toutes les 53 minutes. La meilleure protection reste le dépistage. De nos jours, de nombreux progrès ont été fait du coté du dépistage précoce, d’une meilleure prise en charge des patients et des traitements de plus en plus ciblés et performants.

Il ne faut pas faire la politique de l’autruche et garder à l’esprit qu’un cancer dépisté à un stade initial se guérit. Alors il faut consulter pour tout doute, douleur, sensation ou forme bizarre. Mieux vaut consulter inutilement que trop tard pour ce qui concerne sa poitrine.

Très sensibles aux effets du temps, vos seins nécessitent des soins ciblés pour rester fermes et afficher un grain de peau impeccable. Regardez vos seins régulièrement parce que le dépistage précoce reste votre meilleure arme.

Je suis moi, je suis autre

C'est un "emprunt", mais cela nous convient si bien...

La Fête de la Musique

La Fête de la Musique a lieu à travers le monde le 21 juin (premier jour de l'été de chaque année).

Elle est imaginée en 1981 par Maurice Fleuret[1], et mise en place par Jack Lang alors ministre de la culture français. Sa première édition a lieu le 21 juin 1982. C'est l'occasion d'une liesse populaire et la manifestation connaît un succès croissant au cours des décennies suivantes. Le 21 juin a été choisi car ce jour est le premier jour d'été et aussi le solstice d'été (le jour le plus long de l'année) : cette date symbolise ainsi le sacre de la nature à travers cette journée festive, à l'image des fêtes païennes dédiées à la nature ou aux moissons durant l'Antiquité (fêtes de la Saint-Jean).

Elle a pour vocation de promouvoir la musique de deux façons. Sous le slogan homophone à son nom, faites de la musique, elle encourage les musiciens amateurs à se produire bénévolement dans les rues. Grâce à l'organisation de nombreux concerts gratuits, d'amateurs mais aussi de professionnels, elle permet à un public large d'accéder à des musiques de toutes sortes et origines (musique classique, jazz, rock, world music, musique traditionnelle, etc.).

La musique étant un vecteur de communication universel, cette fête s'est aujourd'hui complètement internationalisée : en moins de 15 ans, elle s'est diffusée dans 110 pays sur les 5 continents.

C'est aussi le premier jour d'été, c'est le temps des vacances. On oublie l'école en espérant que le soleil brillera souvent. Les jours s'allongent encore et le soleil monte très haut dans le ciel.

Un don de sang peut-il transmettre le cancer ?


Bénéficier d'une transfusion à partir d'un don de sang provenant d'une personne chez qui l'on découvre par la suite un cancer, expose-t-il le receveur au cancer ? Cette question a été explorée et les conclusions sont rassurantes.
Le risque de transmission de virus (sida, hépatite…) dans les suites d'une transfusion sanguine est connu et aujourd'hui réduit par des tests systématiques réalisés au moment du don. Mais qu'en est-il d'un éventuel risque si des cellules tumorales sont présentes dans le sang ? Selon une étude préliminaire, le risque de transfusion tumorale chez des receveurs d'organes existe. En revanche, aucune majoration de risque n'a été notifiée chez des sujets ayant reçu un don de sang de la part d'une personne décédée ultérieurement d'un cancer. Cette nouvelle étude a porté sur 350.000 cas de transfusions pour lesquelles donneurs et receveurs ont été suivis durant 5 ans. Par comparaison avec les personnes ayant reçu du sang de donneurs sains, l'incidence des cancers chez les transfusés avec du sang de donneurs précancéreux n'est pas augmentée. Ainsi, le risque de cancer à moyen terme est identique, que les donneurs aient développé ou non une tumeur.

Maldives

Je pense fort à toi, je touche du bois, et croise fort les doigts. Bien que je suis tout à fait confiante en tes capacités de capter de manière positive l'attention de ton interlocuteur.
Et d'après ce que tu m'as décrit cette nuit tu es fin prête à abattre des montagnes...
Dans ce domaine j'ai toujours eu confiance en toi lol Prends soin de toi. Monique

mercredi 20 juin 2007

http://www.findmadeleine.com/


Maddie

Il suffit parfois d'un regard attentif pour sauver un enfant. Cliquer sur ce lien pour accéder à l'article : LES BLOGS SOLIDAIRES
Merci de relayer.

Rire


Rire !
Auteur inconnu

Que c'est bon de rire !
Une belle cascade de rires est excellente pour la santé.
Comme l'ont prouvé maintes recherches:
Rire réduit la pression artérielle et dégage des endorphines.
Substances, dans le cerveau, qui réduisent la douleur et améliorent le bien-être.
Rire fort, c'est faire faire de l'exercice au cœur et le pousser à battre plus fort.
Entraînant la circulation d'oxygène frais dans les artères.
La pression artérielle augmente un peu pendant que l'on ri,
puis baisse considérablement pendant un instant.
C'est un bon moyen de libérer les tensions accumulées
et de se prémunir ainsi contre le stress.
Cette saison, n'oubliez donc pas de Rire,
Rire et Rire encore !

J'accepte ce que je suis
Auteur inconnu

Parfois, la vie nous semble injuste.

Nous sommes prompts à juger quand les événements ne tournent pas comme nous
l'espérions ou quand nous ne sommes pas à la hauteur de ce que nous voudrions être.
Pourtant, la vie n'est pas si exigeante envers nous.
Si vous acceptez de baisser pavillon, si vous cessez de vous condamner, la vie se
chargera en douceur de vous amener à une plus grande ouverture.
Il ne vous est pas demandé de faire semblant d'être ce que vous n'êtes pas ou de nier
ce que vous ressentez.
Faites confiance, les métamorphoses sont possibles.
Ne jugez pas ce que vous êtes.
La vie, dans sa grande sagesse, vous accepte tel que vous êtes sans vous condamner.
Vous êtes exactement ce que vous devez être pour accomplir ce que devez accomplir.
Acceptez- vous et aimez- vous pour ce que vous êtes d'accord et avant tout.
Vous verrez que l'amour est un grand magicien...

A la veille de l'été





Vous pouvez vous rendre sur le site de anne geddes pour voir beaucoup de belles photos

http://www.annegeddes.com/

Don d'organe





Journée de réflexion le 22 juin 2007

Don d'organe : dire sa position, c'est aussi aider ses proches
L'Agence de la biomédecine rappelle qu'il est impératif de faire connaître sa position vis-à-vis du don d'organe. La 7e journée nationale de réflexion sur le don d'organe et la greffe est l'occasion annuelle d'engager avec tact la conversation sur ce sujet et de signifier clairement à ses proches sa position.

L'activité de greffe a progressé de 38% entre 2000 et 2006. Mais la situation est toujours à la pénurie : sur les 12.450 personnes en liste d'attente en 2006, seules 4.428 ont pu bénéficier d'une greffe… Nous pouvons tous faire quelque chose pour améliorer le contexte : dire à nos proches si nous sommes pour ou contre le don de nos organes.

Affirmer notre position permet à notre souhait d'être respecté bien sûr, mais cela permet aussi d'aider nos proches à témoigner et à prendre une décision dans un moment de douleur et de désarroi profond.

Cette année, l'Agence de la biomédecine s'adresse aussi pour la première fois aux jeunes. En effet, dès 18 ans, c'est la volonté du défunt qui prime sur celle de ses parents. Les jeunes ayant des sensibilités différentes de celles de leurs aînés, un site Internet a été spécifiquement conçu pour eux :

www.ledonlagreffeetmoi.com.

Soulignons par ailleurs qu'ils ont une certaine facilité à s'exprimer sur le sujet, que nombre d'entre eux en ont déjà parlé avec leur entourage et qu'ils sont 84% à se déclarer favorable au don d'organe.

Pour en savoir plus

Agence de la biomédecine : www.agence-biomedecine.fr

mardi 19 juin 2007

Kathleen Asselin fière combattante

Trois fois survivante du cancer

par Véronique Demers
Voir tous les articles de Véronique Demers
Article mis en ligne le 18 juin 2007 à 7:30

Trois fois survivante du cancer
Kathleen Asselin, fière combattante ayant vaincu trois cancers, donnera une conférence en décembre prochain pour promouvoir la santé du sein.
Trois fois survivante du cancer
Kathleen Asselin, jeune femme de 31 ans, n’est pourtant en rien différente des autres en apparence. Mais elle a livré pas moins de trois batailles intérieures, avec lesquelles elle a failli y laisser sa peau. Elle a vaincu chacune de ces luttes, portant le nom de cancer.
À peine âgée de 3 ans et demi, le cancer de Hotchkin vient l’accabler, mais Kathleen Asselin en sort indemne, grâce à des traitements de radiothérapie. Plus tard, à 18 ans, c’est le cancer de la glande thyroïde qui s’abat sur elle. Puis, sortie de l’adolescence et plongée à peine dans sa vie d’adulte, Mme Asselin apprend qu’elle est atteinte du cancer du sein. À 26 ans.

«C’était un cancer de grade 3, très agressif. J’ai dû tout de suite commencer mes traitements de chimiothérapie et de radiothérapie», raconte la jeune combattante. Mais avec des métastases répandus dans les os, les médecins ont laissé poindre des constats les plus pessimistes. «J’étais très faible, c’était dur de remonter la pente», mentionne-t-elle.

Ses traitements de radiothérapie, efficaces, lui donnent des douleurs dans la colonne et les jambes. Malgré une démarche chancelante, Kathleen décide de ne prendre ni béquille ni canne. «Je n’ai pas pris d’antidouleur non plus», avoue-t-elle avec fierté.
Assez!
«Le dernier cancer est celui qui m’a changée le plus. Je me suis dit: c’est assez! Parce que c’était soit vivre ou mourir.» Kathleen a alors pris le taureau par les cornes en modifiant son alimentation, en mangeant plus de fruits et en profitant de la vie au quotidien. «Quelques mois plus tard, les douleurs avaient disparu. Mais la guérison dans les os est plus longue», explique cette survivante de trois cancers.
Recevant l’appui de sa mère, de son conjoint et ses proches, Kathleen s’est battue contre le cancer du sein en croyant que l’impossible est possible.«Je suis très croyante. Il y a toujours de l’espoir. Si des personnes ont réussi, je me dis: Pourquoi pas moi?

Ce changement de cap dans son mode de vie et son alimentation a eu un impact direct sur ses amis et membres de sa famille. «Ils ont suivi mon mode de vie. C’est différent, mais plus facile du fait qu'ils me suivent.»

Kathleen Asselin arrive à tirer des notes positives de ses trois cancers. «Jeune, j’avais développé une phobie des hôpitaux et j’avais tendance à être claustrophobe. Mais aujourd’hui, être guérie, c’est une délivrance. Je suis beaucoup plus fonceuse et j’ai une grande confiance en soi», explique celle qui occupe un emploi en service de garde à la Commission scolaire des Premières Seigneuries.
Santé du sein
Kathleen Asselin est l’une des six conférencières, avec Anny Desjardins, Johanne Robitaille-Manouvrier, Anna Capobianco-Skipworth, Sylvie Dallaire et Anne Rousseau faisant partie des Rendez-vous Allure, un nouveau programme de prévention et de sensibilisation au cancer du sein mis sur pied par la Banque Nationale.
La Banque a versé 400 000$ pour démarrer le programme, grâce à l’utilisation de la carte Allure MasterCard qu’en font ses détentrices. En fait, un pourcentage de la transaction est versé à la Fondation du cancer du sein du Québec.

Les Rendez-vous Allure auront lieu de novembre 2007 à mai 2008. Mme Asselin partagera son témoignage et répondra aux questions du public en décembre prochain. «Dans ma conférence, je vais parler de l’importance de l’auto-examen des seins. À 26 ans, je pensais que ça arrivait qu’aux femmes plus âgées.»

La Beauportoise enjouée conserve en tête ce credo: «Il faut garder espoir, et continuer de se battre, car tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Il ne faut jamais abandonner.»
Renseignements: www.rubanrose.org ou 1 877 990-1717

Qu'importe la nationalité le combat est le même! C'est d'abord un combat avec soi même puis évidemment avec l'aide de la médecine dont dispose chaque malade.

lundi 18 juin 2007

Jane Tomlinson



Grande Bretagne : Jane Tomlinson en train de perdre son combat contre le cancer 18.06.2007 01:11Jane Tomlinson, une Britannique de 43 ans qui se bat depuis près de sept ans contre un cancer, en multipliant les exploits sportifs, a confié lundi que sa santé s'était détériorée au point qu'elle pensait passer le dernier été avec sa famille. [Photo]"La réalité est que ce sera probablement le dernier été que je vais pouvoir passer avec ma famille compte tenu de l'étendue de ma maladie", a déclaré Jane Tomlinson dans un entretien à la chaîne de télévision privée GMTV qui doit être diffusé lundi. "J'ai eu sept ans pour me faire à l'idée que je ne serai pas présente pour ma famille (...) mais ça ne rend pas la fin plus facile quand vous y faites face", a-t-elle ajouté. Mère de trois enfants, Jane Tomlinson a appris fin août 2000 que son cancer du sein, en rémission depuis dix ans, s'était étendu aux poumons et aux os, et était incurable. Les médecins lui donnaient six mois à vivre. Elle s'est alors engagée dans une véritable course contre la mort: sa première course en mai 2001 (5 km) a été suivie, entre autres, par quatre marathons et un triathlon Ironman (4 km de nage, 180 km à vélo et un marathon). En mai-juin 2004, elle a parcouru à bicyclette les 4.000 km qui séparent Rome de sa ville natale de Leeds (nord de l'Angleterre). Pendant l'été 2006, elle a relié San Francisco à New York, soit 6.780 km. Des exploits qui lui ont permis de recueillir 1,5 million (2,21 millions d'euros) au profit d'organisations caritatives. Dans un entretien à l'AFP en novembre, elle avait indiqué que la progression de sa maladie la contraignait à renoncer à ses exploits sportifs mais qu'elle souhaitait poursuivre son action en faveur d'organisations caritatives. Elle a organisé "Courir pour tous", une course à pied de 10 kilomètres à Leeds qui doit avoir lieu le 24 juin. Au total 8.000 personnes sont inscrites à l'heure actuelle. La reine Elizabeth II l'a nommée samedi Commandeur de l'Empire britannique (CBE), dans le cadre des récompenses qu'elle attribue traditionnellement le jour de son anniversaire officiel --la souveraine est en réalité née un 21 avril-- qui correspond à la revue militaire "Trooping the colour". En 2003, Jane Tomlinson avait été décorée de l'Ordre de l'Empire britannique (MBE). (AFP)

Pour Sandrine


... !!! (rire) Dommage tu n'es pas près de repasser sur le blog trop de charges, de responsabilités...