mercredi 2 mai 2007

vingt ans déjà c'était un 2 Mai

Cimetière de Montmartre (Paris)

Yolanda Gigliotti
dite Dalida, née le 17 janvier 1933 au Caire en Égypte et décédée dans la nuit du 2 au 3 mai 1987 à Paris, était une chanteuse et une actrice italienne. Son père était premier violon à l’opéra du Caire.

Dalida gagne Paris à l’âge de vingt et un ans dans l’espoir de faire carrière dans le cinéma, après avoir remporté en Égypte quelques concours de beauté, dont le titre de « Miss Égypte 1954 », et tourné dans plusieurs films de série B. Rapidement consciente du fait que ce maigre bagage ne pèse rien aux yeux des producteurs français, elle s’oriente vers la chanson et débute à la Villa d'Este, dans un répertoire à l’exotisme latin emprunté à Gloria Lasso.(sources wikipédia)

Moi, je vis d'amour et de danse
Je vis comme si j'étais en vacances
Je vis comme si j'étais éternelle
Comme si les nouvelles étaient sans problèmes
Moi, je vis d'amo
ur et de rire
Je vis comme si y avait rien à dire
J'ai tout le temps d'écrire mes mémoires
D'écrire mon histoire à l'encre bleue
Laissez-moi danser laissez-moi
Laissez-moi danser chanter en liberté tout l'été
Laissez-moi danser laissez-moi
Aller jus
qu'au bout du rêve

Moi, je vis d'amour et de risque
Quand ça n'va pas je tourne le disque
Je vais, je viens j'ai appris à vivre
Comme si j'étais libre et en équilibre
Moi, je vis d'amour et de rire
Je vis comme si y avait rien à dire
J'ai tout le temps d'écrire mes mémoires
D'écrire mon histoire à l'encre bleue
Laissez-moi danser laissez-moi
Laissez-moi danser chanter en liberté tout l'été
Laissez-moi danser laissez-moi
Aller jusqu'au bout du rêve
Laissez-moi danser laissez-moi
Laissez-moi danser chanter en liberté tout l'été
Laissez-moi danser laissez-moi
Aller jusqu'au bout du rêve

Grande diva du 20eme siecle.
De Bambino a Gondolier, de Gigi l'amoroso a Il venait d'avoir 18 ans, d'Avec le temps a Je suis malade, Dalida aura chanté tous les styles musicaux.
Fruit d'un travail acharné, sa carrière a été la plus riche du music-hall.
20 ans apres sa tragique disparition Dalida est plus presente que jamais.
De la gloire aux larmes, Yolanda la femme aura lutté pour rechecher son identité a travers Dalida la diva.

4 commentaires:

Monique a dit…

Pour toi Maldives, qui a vu le film hier, moi je n'ai vu que la fin justement la scène avec son frère et où elle donne congé à sa femme de mènage. Le reste tout le monde s'en souvient.

Anonyme a dit…

Je me retrouve tellement dans sa fragilité.
Elle m'émeut tant.
Elle a été en quête perpétuelle du bonheur et surtout de l'amour.
Sans amour, elle n'était rien ...

Elle a connu des moments de bonheur mais bien trop brefs.

Elle était impulsive, d'une tendresse infinie, passionnée par la vie aussi qu'elle voulait si brillante, étincelante ...

Elle a trouvé l'amour à 3 reprises mais ne s'est jamais remise vraiment de la disparition du 1er homme qu'elle ait vraiment aimé : Luigi Tenco.
Elle a trainé son errance toute sa vie ...
espérant ...
espérant ...

J'ai quelquefois l'impression que c'est un peu moi ...
trainant sa quête du bonheur sans jamais le trouver ...
l'amour, l'avoir trouvé mais sans lendemains vibrants et vivants ...

Je me retrouve tellement dans cette femme

La différence entre elle et moi : j'ai connu le bonheur d'être mère et d'avoir une merveilleuse princesse ... c'est certainement elle qui me fera toujours avancer même lorsque j'aimerais que tout s'arrête

Monique a dit…

Je rentre tout juste et découvre avec délice tes messages. Mais j'ai du relire celui ci deux fois pour assimiler ta dernière phrase.

Monique a dit…

J'ai eu besoin de tes explications pour comprendre. C'est vrai que pour un chagrin d'amour je ne pouvais pas admettre que l'on puisse intenter à sa vie, alors que cette vie est si précieuse. Et que beaucoup lutte pour la garder.