mercredi 28 février 2007

La Petite Maison dans la Prairie


Reconstitution de la Petite Maison dans la Prairie

Laura Ingalls Wilder (Pepin, Wisconsin, 7 février 1867 – Mansfield, Missouri, 10 février1957) était une écrivaine états-unienne, auteur d’une série de romans pour enfants basés sur sa propre enfance au seins d’une famille de pionniers américains à la fin du XIXe siècle. Cette succession de livres a été popularisée par la série américaine La Petite Mai
son dans la prairie, dans laquelle l'actrice Melissa Gilbert jouait le rôle de Laura.

Fille de Charles et Caroline Ingalls, Laura Elizabeth Ingalls naquit le 7 février 1867 près de Pepin, dans le Wisconsin. Elle est la deuxième de leurs cinq enfants : Mary, Laura, Carrie, Freddy et Grace. Bien qu’elle était une élève intelligente et brillante, son éducation fut sporadique étant donné que sa famille déménagea de nombreuse fois à travers le Midwest et vivait souvent dans des endroits isolés où il n’y avait pas encore d’école.

En 1868, les Ingalls quittèrent Pepin pour s’installer à Chariton County dans le Missouri. Un an plus tard, ils s’installèrent à Independence, dans le Kansas, où Laura apprit à écrire. En 1871, il retournèrent à Pepin, où Laura et sa sœur Mary furent inscrites à la Barry Corner School. Au bout de trois ans, ils quittèrent définitivement la ville et partirent pour Walnut Grove, dans le Minnesota. Ils habitèrent d’abord dans une montagne au bord d’un ruisseau, jusqu’à ce qu’ils eurent fini de construire leur maison. Ils quittèrent brièvement la ville, de 1876 à 1877, pour vivre à Burr Oak, dans l’Iowa, où Charles travailla dans un hôtel puis dans un moulin, puis ils revinrent à Walnut Grove. Laura commença alors à travailler comme couturière pour aider financièrement ses parents.

En 1879, les Ingalls se fixèrent à De Smet, dans le Dakota du Sud, où Charles avait trouvé un travail dans une compagnie de chemin de fer. S’en suivit un hiver très difficile, où l’on mourait presque de faim. Laura, fréquentait plus régulièrement l’école où elle aimait particulièrement l’anglais, l’histoire et la poésie. Elle devint institutrice à l’âge de seize ans et fut engagée à la Bouchie School.

Après trois ans de fiançailles, Laura épousa le frère de son ancienne institutrice, le fermier Almanzo Wilder, le 25 août 1885. Elle dut arrêter son métier, car à son époque, les femmes mariées n’étaient pas autorisées à enseigner. Leur fille, Rose, naquit le 5 décembre 1886. La petite Rose fut suivi d’un fils, mort rapidement après sa naissance, en août 1889. Cet événement tragique était le premier d’une série, puisque Almanzo, atteint de la diphtérie, resta partiellement paralysé aux jambes et eut besoin d’une canne jusqu’à la fin de ses jours. Puis, leur maison et leur grange furent détruites par le feu. Et enfin, plusieurs années de sècheresse les laissèrent endettés Physiquement
malades et par conséquent incapables de gagner leur vie, les Wilder restèrent une année chez les parents d’Almanzo à Spring Valley, dans le Minnesota, où ils purent se reposer. En 1891, ils s’installèrent brièvement à Westville en Floride, où vivait le cousin de Laura. Le climat de Floride devait améliorer la santé d’Almanzo, mais Laura, qui avait l’habitude de vivre dans les plaines sèches, ne supportait pas la chaleur et l’humidité méridionale, et les Wilder retournèrent donc en 1892 à De Smet, où ils louèrent une petite maison.

En 1894, ils se fixèrent définitivement à Mansfield, dans le Missouri. Ils y achetèrent une parcelle de terre où ils construisirent une magnifique maison, qu’ils appelèrent la Rocky Ridge Farm, où Laura et Almanzo finirent leur existence. Ils y élevèrent de la volaille et y cultivèrent des fruits.

Laura commença à écrire des articles pour le Missouri Ruralist, ainsi que pour d’autres magazines. Sa fille, Rose, l’encouragea alors à écrire ses mémoires. Elle rédigea ainsi son autobiographie en 1930 et l’intitula Pionner Girl. Mais, n’ayant pas trouvé d’éditeur, elle la réécrit en partie et la publia sous le titre de La Petite Maison dans les grands bois. Le livre rencontra un succès immédiat, ce qui encouragea Laura à écrire la suite de ses aventures et de celles de sa famille. Il en résultat la série de La Petite Maison.


Je suis certaine que cette tete ne vous est pas indifférente!
Qui a pu oublier cette chére Madame Olson dans "la petite maison dans la prairie"? On s'y est tous attaché malgré toutes ses méchancetés! Eh bien voilà ce qu'elle est devenu depuis l'arret de la série:

Katherine MacGregor reste connue pour son rôle d’Harriet Oleson,une femme méchante, bavarde et arrogante. Avant de travailler à Los Angeles, elle a fait du théâ

tre à Brodway et dans les théâtres de la région de New York.

Depuis la fin de la série,personne ne sait vraiment ce qu'elle est devenue.Par contre,elle est devenu une adepte d'une secte hindou et vit totalement coupée du monde, ce qui explique qu'on n'ait plus de nouvelle d'elle.


La tombe d'Almanzo et Laura Wilder

Almanzo mourut le 23 octobre 1949 à Mansfield, à l'âge de quatre-vingt-douze ans. Laura s’éteignit pendant son sommeil le 10 février 1957 à la Rocky Ridge Farm, à l'âge de quatre-vingt-dix ans.

Coucou Agathe

Aujourd'hui c'est Mercredi!!!!

J'espère que tu as profitez pleinement de ta
douce Maman?

A BIENTÖT BISOUS

Kikou Maldives

La fibromyalgie


La fibromyalgie est une nouvelle maladie décrite depuis les année 90,
faite de fatigue, de douleurs diffuses, de douleurs du squelette, de mal-
être, de trouble du sommeil, de maux de tête et de colopathie.
Sa cause est complètement inconnue et l’Académie Nationale de Médecine
vient de refuser l’idée de la considérer comme une nouvellepathologie,
dans la mesure où l’on ne dispose d’aucun moyen clinique, physique ou
biologique d’en faire une description. Autrement dit, la fibromyalgie doit
être un diagnostic d’élimination, après avoir écarté les autres causes possibles
de maladie. L’Académie refuse également que la fibromyalgie ouvre
automatiquement le droit à la mise en invalidité ou en Affection Longue
Durée (ALD), en dehors des cas très sévères. Il est au contraire rappelé que ces
patients doivent maintenir la plus longtemps possible une activité adaptée, qui
constitue une aide essentielle pour limiter les aggravations et les aider à guérir.
Quant à la prise en charge, elle doit être pluridisciplinaire en faisant appel à
l’ensemble des professionnels de santé concernés.

Pour toi Agathe



Click sur le gif bonne nuit tu vas voir il va se passer quelque chose.

Mon doudou

Les enfants cessent d’être des enfants


Les enfants cessent d’être des enfants
quand ils apprennent...

  • Que le bonheur n’est pas dans ce qu’une personne possède, mais bien dans ce qu’elle est;
  • Que donner et pardonner valent plus que prendre et se venger;
  • Que la souffrance n’est pas soulagée par l’apitoiement, mais par la détermination et la force spirituelle;
  • Qu’ils ne peuvent contrôler le monde autour d’eux, mais qu’ils sont les maîtres de leur vie;
  • Que leurs relations seront meilleures s’ils placent l’amitié au-dessus de l’ego, les compromis au-dessus de l’orgueil, et l’écoute avant les conseils;
  • À ne pas haïr une personne dont les différences les effraient, mais plutôt à craindre ce genre de haine;
  • Qu’il y a de la joie dans le pouvoir d’encourager les autres et non à les rabaisser;
  • Que les louanges des autres sont flatteuses, mais qu’elles n’ont aucun sens sans le respect de soi d'abord;
  • Que la valeur d’une vie se mesure non pas par le nombre d’années passées à accumuler des biens matériels, mais par les moments de bonheur qu'on a semés;
  • À ne pas juger les autres, sachant que chaque personne a des défauts, et que l’aide qu’on reçoit ou le mal qu’on nous inflige entraînent l’émergence de l'une ou de l'autre;
  • Que chaque personne a reçu en cadeau son individualité et que le but de la vie est de partager le meilleur de ce cadeau avec les autres;

Lorsque les enfants apprennent ces idéaux et la façon de les mettre en pratique, ils cessent d’être des enfants pour devenir de grandes personnes qui font le bonheur de ceux qui les entourent.

David L. Weatherford
Dans Un 5e Bol de bouillon de poulet pour l’âme

Ils sont trop trognons

Même si c'est pour de "faux" ils sont si mignons

Un peu de repos

Partir



Nouvelle série de photos enfants

La Fibromyalgie



La flamme de la liberté, à l'entrée du tunnel de l'Alma - 09/1999

Cette statue est la réplique exacte de la flamme de la statue de la liberté à New York. Elle a été offerte au peuple français par des donateurs du monde entier en symbole de l'amitié franco-américaine.
Située juste au-dessus de l'entrée du tunnel de l'Alma où la Princesse Diana trouva la mort en août 1997, cette statue a été transformée par les visiteurs en un monument à sa mémoire, au pied duquel ils déposent fleurs et messages.

Place de l'Alma (VIIIe-XVIe)
Métro Alma-Marceau

mardi 27 février 2007

Le Moulin Rouge



Paris sous terre les égouts de Paris


La galerie Belgrand est un musée disposé au-dessus du bassin de décantation Bosquet, qui présente l'évolution des égouts et des modes d'alimentation en eau potable.

Invitation à l’histoire

Paris existe grâce à sa gestion de l’eau. Pour mieux comprendre cet aspect de gestion de l’eau on va plonger dans l’histoire de Paris, quelques mètres sous le sol actuel et on commence avec un "flash back" de plus de 1000 ans.

Il faut savoir que jusqu’à 1184 Paris ne comptait pas de rues pavées. Tous les déchets coulaient dans la rue ou étaient entassés. A l’époque de Philippe Auguste, les premières rues pavées disposait au milieu d’une rigole d’évacuation. Pourtant, avec la population qui grandissait rapidement, les besoins de gestion de l’eau augmentaient vite. Différentes solutions étaient étudiées mais à chaque fois ce n’était pas suffisant. A la fin, avec les épidémies qui se propagaient sans fin dans la ville, une solution ne pouvait plus se faire attendre.

Différents systèmes de canalisation

Dans les périodes précédentes, quelques égouts avaient été créés, mais pas assez. De plus, l’évacuation des eaux usées se faisait souvent encore à ciel ouvert. Il fallait d’abord revoir les aqueducs des Romains, puis mieux utiliser les sources d’eau comme la Bièvre, la Voulzie et le canal de l’Ourcq. Napoleon Ier rêvait de pouvoir mettre en place un réseau entier d’égouts à Paris mais il fallu attendre Napoleon III avec l’aide du Baron Haussmann et d’Eugène Belgrand. A cette époque, autour de 1850, les égouts comptaient déjà au total 160 km, mais étaient mal entretenus.

Le plan ambitieux de Eugène Belgrand consistait à canaliser les eaux usées et les jeter loin de Paris. En même temps, il faisait venir de l’eau potable de loin ou à de profondeurs plus importantes. Les eaux propres et les eaux usées étaient acheminées de façon entièrement separée et aussi entièrement en souterrain. Ce projet de canalisation a obtenu le nom Tout-à-l’égout justement car tout le réseau se trouvait en souterrain. Les travaux de construction ont pris longtemps mais ont permis à Paris d’avoir un système de canalisation à la hauteur. A ce jour Paris compte plus de 2350 km de canalisations qui permettent d’évacuer chaque jour 1,2 million de m3 d’eau.

Des noms qui rappellent le passé humide

  • On trouve aujourd’hui encore des traces dans les noms de rues : rue de Ménilmontant, rue de Bièvre, rue des Cascades, rue des Rigoles, rue de la Mare.
  • Il y avait également différentes petites sources d’eau qui maintenant n’ont laissé que leur nom comme souvenir : Pré-Saint-Gervais, Belleville, Savies.
  • La Seine a connu différentes trajectoires dans le passé. Quelques rues par laquelle elle passait : rue de Lyon, boulevard Richard-Lenoir, rue du Chateau, rue des Petites-Ecuries.

Musée des Egouts de Paris

Le Musée des Egouts de Paris est une visite publique aux égouts dans une partie du réseau. Très surprenante, l’idée de visiter une partie des égouts a été conçue dès le début du projet moderne des canalisations. Aussi, le musée a ouvert ses portes pour la prémière fois en 1908, sous le nom du "Musée des Sanitaires". Depuis ce moment-là, le musée s’est modernisé et déplacé. L’accès aux égouts publics se trouve mainentant au Pont de l’Alma.

Le musée propose à ses visiteurs un accueil propre et une odeur supportable. En descendant, on se trouve dans un cadre d’exploitation réelle de 1000 m². On y voit les principes techniques expliqués, une explication de la situation, les enjeux et puis la partie pratique. En suivant une partie des égouts, on se rend compte de la taille du réseau et l’aspect labyrinthique. Très intéressants à noter sont les noms de rues que l’on peut voir et qui correspondent avec les noms réels. Au moins pour autant que le nom n’a pas été changé ou bien que la rue existe encore. Un vrai trésor de l’histoire de Paris. Le visiteur qui regarde bien remarquera également un numéro de maison....

L’approche Marketing

L’approche marketing du Musée des Egouts se joue sur l’autenticité. Il est vrai que ce n’est pas facile d’attirer des personnes à visiter un endroit comme les égouts. On pense directement aux mauvaises odeurs, aux déchets et saletés, bref, pas très attirant.

Pour un prix d’entrée très correct, on a droit également a un dépliant avec des informations en différentes langues. L’accueil est courtois et en uniforme de travail officiel. On a l’impresssion de visiter du vrai et vécu, bien que ce soit très propre. A chaque endroit l’objectif est avant tout d’apprendre au visiteur. Enlever un peu de son mépris et le faire prendre conscience de ce qui se passe en dessous des trottoirs de Paris. On éduque le visiteur sans le prendre de haut, ni le corriger. A la fin de la visite on peut voir quelques reportages sur les personnes qui travaillent dans les égouts, on vise le côté humain sans en faire trop. L’aspect marketing pur, on le trouve avec le petit magasin qui vend des souvenirs. On voit, même en sous-sol les 4-P’s sont arrivés.

Le Musée se positionne comme produit pur sans trop de blah blah. On le voit dans la présentation, dans la pédagogie, dans les personnes qui accueillent. C’est ce qui est apprécié par le public et ce qui lui correspond le mieux. Pas de côté luxe dans ce musée, ce serait deplacé.

Deux rats par habitant !
Dans les égouts parisiens, il y a environ 5 millions de rats (soit plus de deux rats par habitant). Ils sont utiles car ils mangent les déchets et aident ainsi au travail de nettoyage. Mais parfois, les bébêtes sont un peu plus grosses et dangereuses : en 1984, un bébé crocodile vivant a été retrouvé dans les égouts. On n’a jamais ce qu’il y faisait. Une chose est sûre, il vit aujourd’hui dans l’aquarium de Vannes, en Bretagne !

Gare de Lyon



Après un tunnel il y a toujours un renouveau

Une crise bien gérée est l'occasion d'une réorientation salutaire.
Ne jamais perdre de vu cet adage.

Pour essayez d'aider a faire passer quelques minutes agréables, j'ai pris moi un grand plaisir a partager ces photos de Paris qui d'une part m'a fait exécuter un bon en arrière pour m'apercevoir que ce que je vis actuellement sera aussi riche dans l'avenir car au moment de ma jeunesse tout me paraissait "normal" et maintenant tous ces moments sont devenu magifiques et ce pour plusieurs raisons!!!

Place Gambetta, Pont d'Alma,




Bois de Boulogne




Au printemps.

Le Dimanche mon Oncle et Papa de Nicole nous menait faire de la barque.
Puis nos copains respectifs ont pris la succesion de ce tonton pour notre plus grande joie.
Au lieu de la voiture, c'était en moto.

Drôle de photo de la Tour Eiffel

Bois de Vincennes

Bois de Boulogne


Jardin Des Tuileries


Entrées Place de la Concorde, place du Carrousel, rue de Rivoli, quai des Tuileries.
M° Tuileries ou Concorde.

L’un des plus ancien et plus grand jardin de Paris, qui s’étend entre la Pyramide du Louvre et la place de La Concorde.
C’est le grand maître des jardins à la Française, André Le Nôtre, qui dessina les allées du jardin des Tuileries, tout comme il conçu les jardins de Versailles, de Vaux le Vicomte, des Invalides, de Chantilly, …


Place de la République

Présentation : ce n’est que progressivement que la Place de la République est devenue un des carrefours les plus importants du centre de Paris. Au Moyen Age, à cet emplacement, s’élève la Porte du Temple, percée dans l’enceinte de Charles V et délimitant les terres des Templiers. Après la destruction de l’enceinte médiévale et l’aménagement du Cours en 1684, la Porte du Temple disparaît laissant place à un carrefour, croisement des rue et faubourg du Temple et des boulevards Saint Martin et du Temple. En 1811, dans le cadre de l’aménagement du bassin de la Villette, Napoléon dote ce carrefour d’une fontaine ornée de lions qui donne son premier nom à la place, « Place du Château d’Eau ». Après le percement du boulevard du Prince Eugène (actuel boulevard Voltaire) et du boulevard des Amandiers (actuelle avenue de la République) en 1857 et du boulevard Magenta en 1859, la place s’agrandit et se borde de grands immeubles haussmanniens; la fontaine devenue trop petite pour cet espace est remplacée en 1867. Mais la proclamation de la IIIème République appelle à un renouvellement du mobilier urbain pour y affirmer le triomphe de la République ; la fontaine de la place du Château d’Eau est déplacée et le 14 juillet 1883, une statue colossale de la République, encadrée par des statues représentant les valeurs républicaines de la Liberté, l’Egalité et la Fraternité, est ainsi dressée au centre de Paris et donne son nom à cette célèbre place.

Anecdote : de 1839 à 1854, en partie sur l’emplacement de l’actuelle caserne Vérines, se trouvait une des salles de spectacle les plus prisées des Parisiens : le Diorama où son fondateur Daguerre, l’ « inventeur » de la photographie, offrait des spectacles de 15 minutes donnant l’illusion de la réalité.

Tour Montparnasse

Foire du Trône Musé d'Orsay


La Villette la grande hall


Parc des Buttes Chaumont


Je termine mon tour d'horizon de mon quartier par cette vue si famillière pour moi...
Ici encore il n'était pas rare de s'asseoir
pour se reposer un peu avant de redescendre dans notre appartement.

Parc des Buttes Chaumont


Encore un décord harchi connu pour nous...
PUISQU
E JOURNALIER!













Les gares ferroviaires de Paris étant aussi nombreuses que les compagnies exploitant le réseau de chemin de fer national, se pose le problème du transport des marchandises et des voyageurs d'une gare à l'autre. En 1851, le gouvernement décide donc la création d'un chemin de fer intra-muros reliant les différentes gares. Le tracé décrit d'abord un arc de cercle proche des limites de Paris sur la rive droite, se refermant en longeant la Seine sur la rive gauche. En 1861, le prolongement sur la rive gauche est décidé. Le chemin de fer de ceinture, alors devenu circulaire, est inauguré en 1869.

Mais la petite ceinture n'est pas rentable, et le nombre de voyageurs ne cesse de diminuer à partir de la fin du XIXe siècle. En 1934, les trains de voyageurs sont supprimés et remplacés par un service de bus. La SNCF, créée en 1938, ferme progressivement les voies.

La petite ceinture reprend de l'activité en 1980 avec le RER C, qui circule sur certains tronçons. Sa réhabilitation est à l'étude.

Parc des Buttes Chaumont

Moi qui connait si bien je devine l'appartement de mon oncle et tante et le chemin que nous faisions sur "les ânes tous s'appelaient Martin" et avec qui nous partagions notre gauffre! Pont suspendu

Parc des Buttes Chaumont

Parc des Buttes Chaumont

Grottes des Buttes Chaumont


C'était assez impressionnant pour l'enfant que j'étais en vraie petite Parisienne d'allez me promener tous les jours après l'école alors que nous étions Nicole et moi dans les petites classes notre grand mère ayant la garde de plusieurs enfants de notre environnement. Elle nous menait tous nous promener et jouer dans ce magnifique Parc...

La Bastille

Créée sur l'emplacement de la forteresse de la Bastille, construite en 1369 et prise le 14 juillet 1789, cette place plantée d'arbres sera créée par une loi du 27 juin 1792.



Elle est aujourd'hui située à la jonction des boulevards Richard Lenoir, Beaumarchais, Henri IV, Bourdon et de la Bastille, ainsi que des rues de la Bastille, Saint-Antoine, de Lyon, de Charenton, du Faubourg Saint-Antoine et de la Roquette. L'érection de la colonne de Juillet, construite à l'emplacement de la place de la Porte Saint-Antoine, sera érigée à la suite d'une ordonnance royale du 6 juillet 1831.

Le Louvre la Pyramide