jeudi 29 mars 2012

horde de chevaus camarguais



Dans deux jours nous allons les voir en vrai!



samedi 24 mars 2012

QUAND REVIENT LE PRINTEMPS



Paroles / Lyrics: Paul Daraiche


QUAND REVIENT LE PRINTEMPS


Quand revient le printemps

La saison nouvelle

Quand revient le printemps

Et les jours plus chauds

C'est alors que l'on voit

Que les filles sont belles

Sur la figure, un sourire nouveau.

Tous les oiseaux reviennent et chantent

Ils mettent de la joie dans mon coeur

Quand revient le printemps

La saison nouvelle

C'est enfin, le vrai signe du bonheur.

Quand revient le printemps

Et les roses blanches

Quand les prés deviennent

Plein de vert à nouveau

Et sur la montagne

Cette neige blanche

Avec le soleil disparaîtra bientôt.

vendredi 23 mars 2012

Megan et Rex chien militaire se retrouvent





Ensemble, ils ont accompli plus de 100 missions au cours de deux périodes de 6 mois en Irak, et ont survécu à l’explosion d’une bombe qui les a gravement blessés.
Megan Leavey, 28 ans, et Rex le Berger allemand, 10 ans, ont quitté l’Irak en 2006 et ont passé près d’un an à se rétablir de leurs blessures. Réformée en 2007, Megan cherche depuis à adopter Rex, l’ancien chien renifleur de bombes, dans la vie civile.
Après tout, ils ont formé une équipe et ont vécu des choses intenses, comme le déclare Megan : « Rex est mon partenaire, je l’aime. Nous avons vécu tant de choses ensemble… J’ai passé nuit et jour avec ce chien. C’est un lien très fort. »
Mais les pour les « officiels », il en a été décidé autrement. Dans un premier temps, ils ont mis le Berger allemand de 10 ans à la retraite parce qu’il a développé une paralysie à la gueule qui met en péril ses aptitudes de chien renifleur de bombes.
Rex : réformé et dans le couloir de la mort
En principe, les chiens militaires réformés sont diagnostiqués par des professionnels du monde animalier, et s’ils constatent que l’animal est en bonne santé et équilibré, ils le proposent à l’adoption.
En revanche, quand ils décident qu’un chien n’est pas apte à l’adoption, la sentence est sans appel : il est euthanasié dans les plus brefs délais. C’est ce qu’ils ont décidé pour Rex !
Megan commente cette pratique : « Par précaution, ils ne proposent pas tous les anciens chiens militaires à l’adoption. Le problème avec Rex est qu’ils ont décidé qu’il ne pouvait pas être adopté, parce qu’il est malade et qu’il ne peut plus travailler. Il n'est pas trop malade pour continuer à vivre mais il ne peut simplement plus se rendre utile comme chien de travail. Je refuse que cela se produise. »
Alors une pétition a été lancée par un sénateur et un groupe de vétérans pour faire pression sur les autorités militaires et réunir ces deux héros de guerre que sont Megan et Rex le chien. La pétition a réuni 21 000 signatures, et les efforts ont payé.
Aujourd’hui, Megan peut enfin couler des jours heureux avec Rex le chien, celui qui a partagé les moments les plus douloureux, mais aussi les plus émouvants de sa vie !


La Belgique rend un dernier hommage aux victimes



Emotion dans le plat pays.



Huit jours après le drame qui a endeuillé la Belgique, des milliers de personnes ont tenu à rendre un dernier hommage aux victimes de l'accident de car belge qui a fait 28 morts – dont 22 enfants, en Suisse.

jeudi 22 mars 2012

Extraordinaire aujourd'hui c'est tes 9 ans

Tu nous as rempli de joie lorsque nous avons échangé au téléphone, alors tu trouves qu'un petit frère c'est super, mais qu'il est très remuant ... Tu vois il n'y a pas que les toutous qui occupent une maman! lol





mardi 20 mars 2012

Pas de nom pour ce tueur

8h40: Le tueur portait une petite caméraLe ministre de l'Intérieur Claude Guéant a confirmé sur Europe 1 l'information de Sud Ouest indiquant qu'un témoin avait vu agir le tueur avec une «petite caméra autour du cou». Le ministre a décrit un «appareil de vue qui se place sur la poitrine (...) ajusté par des sangles». «Je ne sais pas s'il filme tout, mais cet appareil a été vu», a ajouté le ministre de l'Intérieur.Quant à l'avancement de l'enquête, Claude Guéant a indiqué que les enquêteurs n'avaient pas identifié le tueur à scooter: «Nous ne savons pas aujourd'hui qui il est est. Pour l'instant, le travail continue. Nous ne sommes pas plus avancés que cela.» Claude Guéant a précisé que le tueur était un homme «d'une froideur extrême», «d'une grande cruauté», «déterminé» et «maître de lui».

lundi 19 mars 2012

Il y a éleveur et marchand de chiens

Paca, les gendarmes démantèlent un trafic international de chiens
lundi 19 mars 2012
Les gendarmes de la brigade de recherches de DRAGUIGNAN (Var - 83) ont interpellé un éleveur soupçonné d'avoir importé illégalement des chiens en provenance de Slovaquie. Retour sur cette affaire.

Mardi 13 mars 2012, au LUC-EN-PROVENCE (83), une trentaine de militaires du groupement de gendarmerie départementale du Var (compagnie de DRAGUIGNAN, brigades de recherches, peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie, communauté de brigades du LUC-EN-PROVENCE), des enquêteurs des groupes travail illégal et délinquance financière, un maître de chien du groupe d'investigation cynophile de CUERS (83), le référent atteinte à l'environnement et à la santé publique et les techniciens en identification criminelle de la BDRIJ ont interpellé un individu soupçonné de se livrer à un trafic international de chiens.
L'éleveur peu scrupuleux achetait chaque chien entre 200 et 300 euros l'unité avant de le revendre entre 700 et 1 000 euros selon la race, au cours de salons spécialisés ou via un site Internet.
Les personnels de la BNEVP (Brigade nationale des enquêtes vétérinaires et phytosanitaires), ceux de la direction départementale de la protection des populations de la préfecture du Var, ceux de la brigade de contrôle et de recherches des impôts et ceux de la cellule anti-trafic de la Société Protectrice des Animaux, engagés aux côtés des gendarmes dans cette opération inter-services, ont recensé 52 chiens sur le site du LUC-EN-PROVENCE et 43 sur celui du MUY (83).
Tous les animaux ont été contrôlés au niveau sanitaire et réglementaire, photographiés et fichés avant d'être acheminés vers des refuges SPA d'Ile-de-France et de la région Midi-Pyrénées.
L'auteur présumé devra répondre aux questions des enquêteurs de la brigade de recherches de DRAGUIGNAN (83) relatives à des suspicions de "mauvais traitement à animaux", travail illégal", "trafic de chiens", "exercice illégal de la profession de vétérinaire" et "trafic de médicaments".
L'enquête devra également déterminer le montant exact du préjudice pour l'Etat qui pourrait s'élever à plusieurs centaines de milliers d'euros, soustraits frauduleusement par le mis en cause au cours de plusieurs années d'activités de faits délictueux.
L'individu sera convoqué prochainement devant la justice.

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Le risque est qu'un futur acheteur d'un chiot, ne fasse un amalgame et pas la différence entre un éleveur sérieux qui lui est un véritable amateur du beau et bon chien en principe il n'élève souvent qu'une seule race.
Il se rend le plus souvent dans le pays d'origine de la race choisie pour faire de judicieux accouplements avec ses propres femelles . Cela demande de sérieux investissements, pas toujours récompensés, car souvent un particulier qui a un beau et bon chiot n'est souvent pas motivé a se rendre en concours un Dimanche et souvent très loin du lieu de son domicile et de bons sujets se rendrons jamais sur un ring...

dimanche 18 mars 2012

On ne se souviendra pas de nous par nos paroles

Les billes rouges !
J'étais à l'épicerie du coin, en train d'acheter des pommes de terre nouvelles. J'ai remarqué un petit garçon, d'ossature délicate, pauvrement vêtu mais propre, regardant avec envie un panier de fèves vertes fraîchement cueillies.
J'avais déjà payé pour mes pommes de terre, mais je me suis arrêté aux fèves vertes. J'adore la soupe aux fèves et aux patates. Choisissant des fèves, je n'ai pas pu m'empêcher d'entendre la conversation entre Monsieur Miller, le propriétaire du magasin, et le pauvre garçon qui était à côté de moi.
hélo Barry, comment vas-tu aujourd'hui? hélo M. Miller! Ça va bien merci. J'étais juste en train d'admirer vos fèves. Elles ont l'air vraiment très bonnes.Elles sont bonnes, Barry. Comment va ta mère? Bien, elle n'arrête pas de prendre du mieux. Bien, puis-je faire quelque chose pour toi ? Non Monsieur, je ne faisais qu'admirer ces fèves.Voudrais-tu en rapporter à la maison ? demanda M. Miller.Non Monsieur, je n'ai rien pour les payer. Eh bien, que pourrais-tu me donner en échange de quelques fèves ? Tout ce que j'ai, c'est ma précieuse bille que voici.C'est une vraie ? Laisse-moi la voir. dit M. Miller
Voici, elle est de qualité. Oui, je peux voir ça. Hum, la seule chose, c'est qu'elle est bleue et j'en recherche une rouge vif.En as-tu une rouge comme ça chez toi? Pas rouge vif, mais presque.Tu sais quoi, ramène ce sac de fèves avec toi à la maison et, quand tu repasseras dans le coin, tu me montreras cette bille rouge, lui dit M. Miller. Bien sûr, M. Miller.Merci.
Madame Miller, qui était debout juste à côté, est venue pour m'aider... Avec un sourire, elle a dit :Il y a 2 autres garçons comme lui dans notre quartier. Les trois sont dans des conditions vraiment précaires. Jim adore marchander avec eux, pour des fèves, des pommes, des tomates ou n'importe quoi d'autre.Lorsqu'ils reviennent avec leurs billes rouges, et ils le font toujours, Jim décide que, finalement, il ne veut plus de rouges et les renvoie chez eux avec un sac d'une autre marchandise, en échange d'une bille verte ou une orange, lorsqu'ils reviendront au magasin.J'ai quitté le magasin avec un sourire au cœur, impressionné par cet homme.
Peu de temps après je sois déménagé au Colorado, mais je n'avais jamais oublié l'histoire de cet homme, des garçons et de leurs marchandages de billes.Plusieurs années passèrent, chacune plus rapidement que les précédentes. Récemment, j'ai eu l'occasion de visiter de vieux amis dans ce quartier de l'Idaho, et j'apprenais que M. Miller était décédé.Il y avait les funérailles ce soir là, et mes amis désiraient s'y rendre. Je les ai accompagnés.À notre arrivée au salon, nous étions dans une ligne pour rencontrer les personnes éprouvées et leur offrir nos sympathies.Devant nous, dans la ligne, il y avait trois jeunes hommes. L'un d'eux était en uniforme d'armée et les deux autres hommes étaient bien coiffés, en habit noir et chemise blanche... Tous paraissaient vraiment bien. Ils s'approchèrent de Madame Miller, qui était debout calme et souriante à côté du cercueil de son mari. Chacun des trois jeunes hommes lui fit une caresse, l'embrassa sur la joue, lui parla brièvement et s'approcha du cercueil. Ses yeux bleus clairs rougis les suivirent et, un par un, chacun des jeunes hommes s'arrêta brièvement et mit sa main tout au-dessus de la main pâle et froide dans le cercueil.Chacun d'eux sortit maladroitement du salon, en essuyant ses yeux.
C'était notre tour de rencontrer Mme Miller. Je lui ai dit qui j'étais et lui rappela l'histoire qui s'était passée longtemps, et ce qu'elle m'avait raconté concernant les marchandages de billes. Avec ses yeux brillants, elle prit ma main et me conduit au cercueil.Ces trois jeunes hommes qui viennent juste de quitter étaient les garçons dont je vous parlais. Ils viennent tout juste de me dire combien ils avaient apprécié la façon dont Jim les marchandait.Maintenant, finalement, puisque Jim ne pouvait plus changer d'idée concernant la couleur ou la grosseur de la bille... ils sont venus payer leur dette.Nous n'avons jamais eu l'occasion de faire fortune dans ce monde, me confia-t-elle, mais, présentement, Jim se serait considéré comme l'homme le plus riche de l'Idaho.
Avec tendresse, elle leva les doigts de son mari décédé.En-dessous de sa main se trouvaient trois billes d'un rouge éclatant.La morale de cette histoire: On ne se souviendra pas de nous par nos paroles, mais par nos bonnes actions.

samedi 17 mars 2012

Se tue avec de la mort aux rats

Maroc : le suicide d'une adolescente mariée à son violeur provoque émotion et protestation

Une femme tient le portrait d’Amina El Filali lors d'un sit-in devant le tribunal local de Larache qui avait approuvé le mariage de la jeune adolescente avec son violeur, le 15 mars 2012.
ABDELHAK SENNA / AFP
Par RFI
Elle s'appelait Amina El Filali et s'est suicidée en absorbant de la mort aux rats pour échapper à un mariage forcé avec son violeur. Depuis hier le drame de cette jeune marocaine suscite une onde de choc sur la toile. Un drame qui remet en lumière un article du code pénal marocain, plus que problématique puisqu’il fait du viol un simple délit et bénéficie au violeur plus qu'à sa victime.
Amina El Filali avait seize ans. Violée il y a six mois par un jeune homme, les parents avaient d’abord porté plainte avant que les deux familles ne trouvent un arrangement pour réparer la faute : organiser un mariage. Une union sordide à laquelle la jeune fille n’a pas trouvé d’autre moyen d’échapper qu’en avalant de la mort aux rats pour se tuer.
Ce drame, malheureusement, est loin d’être un cas isolé. Le code pénal marocain qui date de 1962 permet au violeur d’une femme mineure de ne pas être condamné s’il épouse sa victime. Un compromis souvent accepté par les familles car il résous un dilemme lourd. Pour beaucoup, poursuivre le coupable veut dire condamner sa fille à subir la honte du viol et à ne jamais pouvoir se marier car elle a perdu sa virginité.
Cet article 475 est depuis longtemps dénoncé par les féministes. Mais depuis jeudi, c’est un véritable raz-de-marée. Les appels à l’abrogation de cette loi se sont multipliés sur la toile. Peut-être que le drame d’Amina servira au moins à ce que les parlementaires s’emparent de cet article de loi profondément injuste pour la victime.

ce samedi 17 mars. Un rassemblement pour exprimer sa solidarité avec l'adolescente de 16 ans qui s'est suicidée le week-end dernier après avoir été contrainte d'épouser son violeur. Les organisations qui appellent à ce mouvement réclament une reforme de cette loi marocaine.

Pour changer de sujet puisqu'il le faudra bien



jeudi 15 mars 2012

Signes de compassions



une pensée pour les enfants leurs familles et les sauveteurs

Après le tragique accident de car : Chacun est bouleversé, les enfants, les familles, mais aussi les
secouristes : médecins, pompiers, autorités, gendarmerie... , ils auront eux aussi a faire le deuil de ces visions horribles..
Il n'y a pas de mot pour exprimer ce cauchemar , il y a des images qui vont les accompagner toute leur vie .


Le docteur Jean-Pierre Deslarzes, médecin-chef des secours du Valais, a été l’un des premiers sur le lieu de l’accident et décrit une scène effroyable.A quoi ressemblait le car après le choc ?


DOCTEUR JEAN-PIERRE DESLARZES. C’était terrible, on ne faisait plus la distinction entre les corps des victimes et les tôles de ce bus.

Ce sera pour moi un souvenir particulièrement pénible mais aussi pour tous les sauveteurs qui garderont des images effroyables d’enfants blessés et mutilés ou compressés dans cet autocar dont l’avant avait été complètement broyé. La difficulté pour les secouristes a été d’accéder aux victimes pour les extraire de cette prison de fer. Le traumatisme sera évidemment profond pour tous ceux qui étaient à l’intérieur mais aussi pour nous. On n’en sortira pas indemnes.Les enfants étaient-ils attachés sur leur siège ?Oui, avec certitude. Mais je ne peux dire si dans ce cas ce fut un mal ou un bien. Les experts devront se prononcer. Le choc a été à l’évidence d’une violence effroyable. Mais je ne peux pas dire quelle en est la cause. Mais l’impact a broyé le véhicule sur plus de 4 m à l’avant…Ce tunnel de Sierre est-il réputé dangereux ?Non, au contraire, l’autoroute du Rhône est l’axe le plus sûr. La route n’est pas sinueuse. La descente de la station vers l’autoroute est bien plus difficile.Dans quel état d’esprit êtes-vous face à cette tragédie ?Très sincèrement, je suis profondément perturbé. Tout comme mes collègues, médecins, sauveteurs, infirmiers, techniciens, je crois que je vais avoir besoin d’en parler pour tenter d’effacer cette douleur qui est en train de naître. Cela fera partie de mes traumatismes intimes. Il faudra du temps, mais nous devrons mettre des mots sur ce que nous avons vu pour surmonter cette épreuve nous aussi.


Une pensée pour tous les sauveteurs ils font tous un travail qui demande respect et remerciement.


Ce sont les Anges gardiens au quotidien...

mercredi 14 mars 2012

quand passion rime avec partage de bien belles photos









Les superbes photos des lions du Kenya prises par les BeetleCams

Drame de la route en SUISSE



Intervention des secours à Sierre, en Suisse, après un accident de car le 14 mars 2012.
(DENIS BALIBOUSE / REUTERS)



• Qui se trouvait à bord de l'autocar ?
Le bus transportait 52 personnes, deux classes des villes de Lommel et d'Heverlee, dans les Flandres. Les enfants revenaient de vacances de neige dans le Val d'Anniviers.
• Les sauveteurs suisses sous le choc
Au cours d'une conférence de presse, tôt mercredi matin, le commandant de la police valaisanne a déclaré qu'il s'agissait d'une tragédie "sans précédent". Même les sauveteurs, pourtant aguerris, ont été bouleversés, a-t-il précisé. Selon le médecin chef de l'Organisation cantonale valaisanne de secours, "tous les intervenants ont été choqués par ce qu'ils ont vécu".
Le président du gouvernement du canton du Valais, Jacques Melly, a fait part de son "immense tristesse" et de sa "profonde émotion". Il a présenté ses condoléances aux familles des victimes et adressé ses remerciements aux sauveteurs qui ont œuvré "dans des conditions très difficiles".

jeudi 8 mars 2012

vendredi 2 mars 2012

attention que nous ne soyons pas a la place de l'âne

1°) Porte avions Charles De Gaulle





2°) Porte avions Jacques Chirac




Prochain Porte avions
Nous n’avons pas plus de détail, ………mais il aurait un plan !!!

pas mal


Il est de retour

sans commentaire



jeudi 1 mars 2012

Roman c'est ta fête en ce 28 Février!




J'espère que tu as bien été gâté pour ta fête petit Roman...